vendredi 4 mars 2016

"Printemps" ou siècle des poètes ?


"La poésie est le dernier refuge de l'homme libre"....
"Dernier"  " refuge"...
Comment entendez-vous cette affirmation ?
Refuge -> réfugié...
Tolérance de la poésie, invention, création ?
Poésie refuge ?
                Poésie/barricade ?
                                      Poésie outil ?                                              
Transgression poétique coup de bêche en terreau d'histoire en marche ?
                                                          Transgression poétique et  Transition énergétique ?
                                                                          Subversion poétique et nouvelle pensée subversive ?
Nous répondre en prenant appui sur les Secousses accessibles....

L'envoi dernier de Secousse


A lire

Déjà, en lien avec ce qui était déjà écrit ci-dessous :

Les poètes tiennent bon
de Margaret Atwood


Quelques textes retrouvés...


In 1ère Secousse,



Lionel Bourg 


Je flânais par les rues. 
Fredonnais, dans un anglais enrobé de chewing-gum, une chanson d’Elvis : 

Love me tender 
Love me stron

 revenant à un français plus directement expressif : 
Les bourgeois, C’est comm’ lesz cochons !

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CF Boddaert  in 18ème Secousse


Dix-huitième ► Secousse 1 François Boddaert « In virtute summum bonum ponere » (Apparition, disparition du mot vertu dans la vie politique) 

...


"Et de l’émotivité romantique jusqu’au phantasme de la consommation (tout ça mijotant dans la soupe de la psychanalyse pour tous), le grand moi (du sur au sous) contemporain semble incapable de penser à présent l’idée même de la société comme champ de la convivialité (faut-il aussi parler de dignité ?). Mais Nietzsche nous avait prévenu : « Nous ne sommes plus en pierre de taille ; c’est une vérité qu’il est temps d’énoncer » (Le Gai Savoir). Et Saint-Just, dans ses écrits posthumes : « Malheur à ceux qui vivent dans un temps où la vertu baisse les yeux… ».

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Sixième ► Secousse Alexis Pelletier ► 

 Encore la nuit 3 à dire ce qui te heurte en moi 
et qui charpente les nuits sans rien 

On n’aime jamais assez 
cette vieille antienne du monde mort
voilà qu’elle me revient je me l’applique
 écoute-moi c’est ainsi que nous parlons
 c’est ainsi que tu es dans les mots
 celle qui donne signe
 mais les mots ce n’est parfois pas grand-chose
 ce n’est jamais isolé du monde
 même si les écouter c’est parfois
 quelque chose d’insupportable à n’être
 pas dociles les mots le monde le réel 

....



Poursuivre en chaque Secousse et en entier !!!



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